Mauricio Ruffy sort du silence après sa défaite contre Benoît Saint Denis à l’UFC Paris

Mauricio Ruffy est enfin sorti du silence après sa défaite à l’UFC Paris. Le Brésilien assume son revers mais réaffirme avec force son ambition.
L’UFC Paris (tous les résultats) a été une franche réussite pour les combattants français. Tous ont brillé et semblent prêts à franchir de nouvelles étapes dans leur carrière. Néanmoins, les grands perdants de la soirée sont les Brésiliens, et plus particulièrement les ‘Fighting Nerds’. Caio Borralho s’est incliné face à Nassourdine Imavov et voit son title shot s’éloigner, même s’il reste solidement installé dans le haut du panier de la catégorie. De son côté, Mauricio Ruffy perd gros : soumis par Benoît Saint Denis, son ascension chez les poids légers est stoppée net.
Mauricio Ruffy ne se laisse pas abattre
Dans une vidéo publiée sur Instagram, Mauricio Ruffy s’est exprimé pour la première fois depuis sa défaite du samedi 6 septembre. Malgré ce revers, il ne perd rien de ses ambitions :
« Il s’est réellement passé des choses là-bas que je ne mentionnerai pas ici pour éviter que ça ait l’air d’une excuse. Mais, pour la première fois de ma vie, j’entre dans un Octogone et je n’ai plus le contrôle de mon corps. Sur Internet, c’est toujours pareil. On gagne, on est un phénomène. On perd, et puis on essuie beaucoup de critiques. Absolument rien n’a changé, je vais devenir champion de l’UFC. »
Le Brésilien affiche donc des ambitions claires malgré la défaite. Ruffy devra se relancer s’il veut atteindre son objectif de ceinture. Du côté de Benoît Saint Denis, la machine est bel et bien relancée. Avec cette performance, il peut désormais viser un adversaire de calibre supérieur pour continuer son ascension vers le très haut niveau et se rapprocher, lui aussi, de son ambition de devenir champion. Mateusz Gamrot se présente alors comme le candidat idéal.
Quelle suite voyez-vous pour Mauricio Ruffy ?

Ben bien sûr le mec à trop ouvert sa grande gueule s’est fait ramasser mais c’est pas de sa faute, c’était pas lui