Jon Jones : « Je suis juste un mauvais garçon qui essaie d’être bon ».

Malgré tous ses succès et sa domination à l’intérieur de la cage, Jon Jones n’a pas toujours été une personne parfaite en dehors de celle-ci…

Le champion light heavyweight de l’UFC Jones (24-1 MMA, 18-1 UFC) affrontera Thiago Santos (21-6 MMA, 13-5 UFC) samedi à l’UFC 239 au T-Mobile Arena à Las Vegas. « Je pense que je suis connu pour beaucoup de bonnes choses que j’ai faites et beaucoup de mauvaises choses que j’ai faites « , a déclaré Jones aux médias lors d’une journée de presse organisée jeudi. Bien qu’il ne se soit pas toujours conduit en vertu de l’ordonnance de la loi ou de la politique de l’UFC, Jones a toujours déclaré qu’il est une personne spirituelle. Fils d’un pasteur new-yorkais, Jones l’a souvent dit au cours des hauts et des bas de sa carrière.

L’histoire de Jones avec la loi est bien fournie. En 2012, Jones a fait la une des journaux lorsqu’il a percuté un poteau au bord de la route avec sa Bentley. Moins de trois ans plus tard, Jones a été testé positif à la cocaïne juste avant l’UFC 182 en janvier 2015. En avril 2015, Jones a fui les lieux d’un accident qui a blessé une femme enceinte. En mars 2016, Jones a été arrêté pour avoir enfreint les conditions de sa probation pour une présumée course de dragster. Sa carrière n’a été rien de moins qu’une montagne russe. Malgré tout, « Bones » a toujours fait preuve d’une auto-analyse constante lorsqu’il s’adresse aux médias. Ainsi, lorsqu’on a demandé à Jones s’il était un » bon gars essayant d’être mauvais » ou un » mauvais gars essayant d’être bon « , Jones a donné une réponse métaphysique vintage. Le champion de l’UFC a choisi penché vers le deuxième choix et a expliqué cela aux médias présents : « Je pense que je suis un méchant qui essaie d’être bon, » a dit Jones. « Religieusement, nous sommes tous pécheurs. Nous sommes tous des pécheurs. Nous sommes nés dans le péché. C’est dans la nature de pécher. C’est une décision de faire ce qu’il faut quand personne ne regarde. Je pense que nous tous, en tant qu’humains, aucun de nous n’est de la mer**. C’est notre choix d’essayer d’être moins mauvais. Donc, je dois dire que je suis plus proche d’être un humain imparfait qui essaie de faire les bonnes choses et d’être bon. »